Le ministère de la Santé égyptien a démenti les rumeurs circulant sur les réseaux sociaux concernant une négligence médicale dans le traitement de la défunte journaliste Abeer Al-Abasiri, productrice d'émissions à la télévision égyptienne, décédée après un AVC, affirmant qu'elle a reçu des soins médicaux d'urgence dès son arrivée dans un hôpital privé.
Le ministère a déclaré dans un communiqué officiel que son état avait été classé comme urgence dès le premier instant, et que tous les services médicaux nécessaires avaient été fournis gratuitement, y compris le soutien respiratoire, des examens urgents et des médicaments pour soutenir la circulation sanguine. Le communiqué a ajouté que les 1400 livres égyptiennes, qui ont suscité la controverse, n'étaient pas destinées au traitement ou à la dissolution du caillot, mais constituaient des frais pour obtenir une copie des films radiologiques à la demande d'un accompagnant. Il a confirmé que les soins d'urgence sont un droit gratuit qui ne fait l'objet d'aucun frais ou condition financière.
Le ministère a expliqué qu'Al-Abasiri a ensuite subi un arrêt cardiaque soudain lors de son transfert vers un autre hôpital privé et a subi des tentatives de réanimation cardio-pulmonaire, mais est finalement décédée. Le ministre de la Santé, Khaled Abdel Ghaffar, a souligné l'engagement des hôpitaux à fournir tous les services médicaux d'urgence gratuitement et sans délai, et a annoncé l'ouverture d'une enquête urgente sur les circonstances de l'incident.
Le décès de la journaliste égyptienne a suscité tristesse et controverse sur les réseaux sociaux, avec des accusations portées contre l'hôpital pour négligence dans son traitement. Des publications ont circulé sur diverses plateformes affirmant qu'elle avait été laissée pendant des heures dans la salle d'accueil sans traitement, et que l'hôpital avait exigé un paiement de 1400 livres égyptiennes pour commencer la dissolution du caillot.
Une de ses amies a affirmé que la journaliste "a attendu plus de 6 heures sans aucune intervention médicale, ce qui a entraîné la détérioration de son état de santé et son entrée dans le coma qui a conduit à son décès", ajoutant que l'hôpital a refusé de fournir le traitement avant le paiement, arguant qu'elle n'était pas affiliée à la télévision égyptienne ou au syndicat des cinéastes, alors qu'elle ne disposait pas de la somme, ce qui a causé une grande détresse à sa famille et à son accompagnant.
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