Un problème d'opinion publique nous a été présenté par un enseignant non certifié, diplômé de la Faculté d'éducation, relatant un incident et demandant soutien et conseils.
Un des diplômés a postulé pour travailler dans des écoles privées afin de pratiquer sa spécialisation académique, faute d'opportunité dans la fonction publique.
Un entretien a eu lieu dans une école privée, et après l'entretien par des spécialistes de l'école, un contrat d'une année scolaire a été signé.
Il a été informé de quitter le travail sans raisons réelles et sans préavis ni avertissement. Plus important encore, il n'a pas reçu de copie du contrat signé entre les deux parties pour pouvoir contester, faire appel administratif ou au moins argumenter.
Un enseignant peut-il être traité comme un ouvrier simple sans qualification ? D'ailleurs, la Faculté d'éducation est une faculté spécialisée dont les programmes sont divisés en deux catégories :
- Cours scientifiques concernant tous les départements requis par le Ministère de l'Éducation.
- Cours pédagogiques et éducatifs allant de la psychologie aux méthodes d'enseignement.
Ils sont donc spécialisés et qualifiés, mais ils manquent d'opportunités pour appliquer ce qu'ils ont appris sur le terrain afin d'acquérir des compétences pratiques.
Quiconque dénigre ses diplômés dénigre les qualifications et les connaissances de tous les professeurs de cette institution, en plus de remettre en cause la gestion de la faculté et de ses départements.
Passons à des questions très importantes qui en font un problème d'opinion publique : s'agit-il d'une institution éducative ou ses règles sont-elles des règles spéciales liées uniquement à l'investisseur et au directeur de l'école ?
Des réponses théoriques existent, mais les réponses pratiques réelles sont floues, inconnues ou plus précisément inexistantes...
La raison est que ces institutions ont un caractère commercial et économique et appartiennent à des entités et des personnes qui peuvent n'avoir aucun lien avec la philosophie selon laquelle l'éducation, l'école, l'enseignant et l'élève ne sont pas des marchandises mais des partenaires imposés par la réalité.
L'objectif est de réduire la pression numérique des élèves des écoles publiques vers les écoles privées tout en maintenant les objectifs éducatifs constants. Les écoles publiques et privées partagent la responsabilité de façonner l'avenir de nos élèves vers le meilleur. Cependant, les transformer en boutiques commerciales qui ne tiennent pas compte des enseignants et considèrent les élèves comme des ressources économiques financières est inacceptable et nécessite que tous les organes de contrôle surveillent ces institutions.
En conclusion, il est d'une importance capitale d'élaborer des instructions claires et transparentes contraignantes pour les deux parties : le gouvernement (Ministère de l'Éducation) et l'école privée, afin d'établir qu'il s'agit d'une institution avec des règlements et des systèmes comme les écoles publiques.
Quant à laisser la question entre les mains de l'investisseur, on ne peut que dire que l'avenir éducatif est sombre, marqué distinctement par les profits et l'argent, faisant des objectifs et des bases éducatifs un vent emporté.
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