Des experts libanais ont décrit la question du désarmement du Hezbollah comme "complexe", dépendant des garanties américaines concernant l'engagement d'Israël à se retirer du sud du Liban, dans l'attente d'un plan qui sera approuvé par le Conseil des ministres le 2 septembre.

Avec le temps qui presse, l'armée libanaise fait face à une tâche difficile consistant à concentrer les armes entre les mains de l'État, sous une pression américaine confrontée à l'insistance du Hezbollah à ne pas remettre ses armes.