L'accord de Charm el-Cheikh annonce une nouvelle ère de paix dans la région.

Au nom du président, Mansour ben Zayed participe au sommet.

Les dirigeants des États-Unis, d'Égypte, de Turquie et du Qatar signent une déclaration mettant fin à la guerre de Gaza.

Au nom de Son Altesse Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyan, président des Émirats arabes unis, Son Altesse Cheikh Mansour ben Zayed Al Nahyan, vice-président des Émirats arabes unis, vice-Premier ministre et président du bureau présidentiel, a participé au « Sommet de la paix de Charm el-Cheikh », qui vise à renforcer le soutien international à l'accord de cessez-le-feu à Gaza.

Le sommet a également réuni plusieurs chefs d'État, chefs de gouvernement, délégations et représentants de diverses organisations régionales et internationales. Le sommet a vu la signature par le président américain Donald Trump et les dirigeants des pays médiateurs entre Israël et le Hamas — l'Égypte, la Turquie et le Qatar — d'un document historique complet concernant l'accord de cessez-le-feu à Gaza.

Le président Trump a salué les efforts continus de Son Altesse Cheikh Mohammed ben Zayed Al Nahyan pour parvenir à cet accord, le remerciant pour « l'effort remarquable » accompli pour réaliser ce qu'il a décrit comme « le plus grand accord jamais conclu ». Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a qualifié l'accord de Charm el-Cheikh mettant fin à la guerre de Gaza de « moment historique décisif ».

Il a exprimé l'espoir que « cet accord clôture un chapitre douloureux de l'histoire de l'humanité et ouvre la porte à une nouvelle ère de paix et de stabilité au Moyen-Orient ». Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou devait participer au sommet, selon la présidence égyptienne, mais le bureau de Netanyahou a déclaré plus tard qu'il ne participerait pas en raison de la proximité de la fête. Le journal Yedioth Ahronoth a rapporté que « Netanyahou a évité d'assister au sommet parce qu'il ne voulait pas contrarier les Haredim, qui insistent sur le respect des fêtes religieuses ».

Par ailleurs, hier, tous les otages israéliens vivants, au nombre de 20, ont été libérés, ainsi que 1 968 détenus palestiniens dans les prisons israéliennes, dans le cadre de la première phase du plan de paix annoncé par Trump.

Le Hamas a remis les détenus israéliens en deux lots, en livrant 7 à l'équipe du Comité international de la Croix-Rouge dans le sud de Gaza, puis 13 autres plus tard à Khan Younès.

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