Vendredi, les dirigeants du Royaume-Uni, de la France et de l'Allemagne ont appelé le Conseil de sécurité des Nations unies à apporter son soutien total au plan de paix américain pour la bande de Gaza.
Les trois pays ont déclaré dans un communiqué conjoint : « Nous convenons que le Conseil de sécurité doit apporter son soutien total au plan et déclarer son approbation de sa mise en œuvre », saluant « la direction du président Donald Trump sur ce dossier et les efforts diplomatiques des médiateurs » Égypte, Qatar et Turquie.
Ils se sont engagés à reprendre l'aide humanitaire dès l'entrée en vigueur du cessez-le-feu.
À propos de l'Ukraine
Dans un communiqué publié par le gouvernement allemand, les dirigeants ont convenu lors d'un appel téléphonique de progresser vers l'utilisation des avoirs russes gelés pour soutenir l'armée ukrainienne.
À propos de l'Iran
Par ailleurs, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont exprimé leur détermination à relancer les négociations avec l'Iran concernant son programme nucléaire.
Les trois pays ont déclaré dans un communiqué conjoint : « Nous sommes déterminés à relancer les négociations avec l'Iran et les États-Unis afin d'aboutir à un accord global, durable et vérifiable garantissant que l'Iran ne possède jamais d'armes nucléaires. »
Ils ont ajouté : « Nous considérons que l'activation du mécanisme de réimposition des sanctions était justifiée », estimant que « le programme nucléaire iranien constitue une menace grave pour la paix et la sécurité internationales. »
Les Nations unies ont réimposé des sanctions à l'Iran le 28 septembre, après dix ans de levée suite à l'échec des négociations avec les pays occidentaux. Ces sanctions vont de l'embargo sur les armes à des mesures économiques.
La France, le Royaume-Uni et l'Allemagne avaient auparavant annoncé qu'ils continueraient à chercher une « solution diplomatique » à la crise, mais Téhéran a confirmé en début de semaine qu'elle n'était pas disposée à reprendre les pourparlers « pour le moment ».
Les pays occidentaux et Israël soupçonnent l'Iran de chercher à se doter d'armes nucléaires, ce que Téhéran nie en affirmant son droit à l'énergie nucléaire à des fins pacifiques.
En 2015, après des années de négociations, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, les États-Unis, la Russie et la Chine ont conclu un accord avec Téhéran encadrant ses activités nucléaires en échange de la levée des sanctions.
En 2018, lors du premier mandat de Donald Trump, les États-Unis se sont retirés de l'accord et ont réimposé leurs sanctions à Téhéran.
En réponse, l'Iran a progressivement abandonné certaines de ses obligations prévues dans l'accord, notamment l'enrichissement de l'uranium, poussant la troïka européenne à activer le mécanisme de réimposition des sanctions.
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