Une femme d'une nationalité arabe a accompagné son amie à l'hôpital lors d'une intervention chirurgicale. Pendant sa maladie, son amie lui a dit que l'hôpital avait besoin de 24 000 dirhams, la part à payer par la patiente.
La patiente a demandé à son frère résidant à l'étranger de l'aider à payer les frais, qui a transféré la somme. Plus tard, les deux frères ont découvert que l'accusée avait inventé l'histoire et détourné l'argent pour elle-même, alors que la compagnie d'assurance avait entièrement pris en charge les frais. Ils ont intenté un procès civil, et le tribunal a ordonné à l'accusée de rembourser 37 750 dirhams au frère de la patiente.
En détail, un homme arabe et sa sœur ont déposé une plainte demandant à l'amie de cette dernière de rembourser 74 270 dirhams, dont 24 000 dirhams transférés au compte de l'accusée pour couvrir les frais de chirurgie de la sœur à l'hôpital.
Les plaignants ont déclaré que la sœur a eu un malaise soudain et a demandé à l'accusée, son amie, de l'accompagner pendant le traitement. L'accusée lui a dit que le coût de l'opération était de 36 000 dirhams, l'assurance couvrant 12 000 et le reste de 24 000 devant être payé par la patiente.
La patiente a demandé à son frère à l'étranger de transférer la somme au compte de l'accusée, car elle ne pouvait pas gérer les questions financières pendant la chirurgie.
Le frère a transféré 32 760 dirhams, couvrant les frais hospitaliers et d'autres dépenses. Après la sortie de la patiente et une vérification auprès de la compagnie d'assurance, ils ont découvert que l'assurance avait couvert la totalité des frais et que l'hôpital n'avait demandé aucun paiement supplémentaire.
La patiente a confronté l'accusée qui a nié avoir détourné l'argent et a affirmé avoir payé l'assurance sans preuve. Le frère a contacté la compagnie d'assurance qui a confirmé le paiement complet, et a exigé que l'accusée rembourse l'argent. Elle a retardé et nié, affirmant que la preuve avait été perdue de son téléphone.
La patiente a également prêté de l'argent liquide à l'accusée auparavant, portant le total dû à 74 270 dirhams. L'accusée a reconnu la dette par écrit mais prétend ne pas pouvoir payer.
Les plaignants ont déclaré que l'accusée persistait à retarder le paiement malgré les demandes répétées, leur causant des dommages matériels et moraux importants, y compris des frais juridiques. Ils ont joint des factures d'hôpital, des certificats d'assurance et des conversations téléphoniques, demandant le remboursement de 32 760 dirhams au frère, 41 500 à la sœur, plus une compensation.
Le tribunal a nommé un expert qui a confirmé que le frère avait transféré 32 760 dirhams au compte de l'accusée, mais n'a trouvé aucune preuve de paiements de la sœur. L'accusée ne s'est pas présentée au tribunal ni n'a fourni de défense ou de documents prouvant le paiement à l'hôpital.
Le tribunal a statué que le créancier doit prouver l'obligation et le débiteur la libération. Le rapport d'expertise a confirmé la responsabilité de l'accusée pour 32 760 dirhams. Le tribunal a accordé au frère 5 000 dirhams pour dommages matériels et moraux, portant le total à 37 760 dirhams, a rejeté les demandes de la sœur faute de preuves, et a ordonné à l'accusée de payer les frais de justice et les honoraires d'avocat.
Recommended for you
مدينة المعارض تنجز نحو 80% من استعداداتها لانطلاق معرض دمشق الدولي
الجغبير: القطاع الصناعي يقود النمو الاقتصادي
تقديم طلبات القبول الموحد الثلاثاء و640 طالبا سيتم قبولهم في الطب
وزارة الإعلام تعلن إقامة النسخة الـ10 من "واحة الإعلام"
طالب الرفاعى يؤرخ لتراث الفن الكويتى فى "دوخى.. تقاسيم الصَبا"
وزير الطاقة والمياه الأفغاني للجزيرة نت: بأموالنا نبني السدود ونواجه الجفاف