Des rapports répétés font état d'imams expulsés d'Occident pour avoir prôné de frapper les épouses, y compris un imam en Espagne qui a été emprisonné et condamné à une amende pour avoir écrit un livre sur le fait de battre les épouses. Ces personnes ont payé le prix de la méconnaissance des interprétations du verset coranique (وَاضْرِبُوهُنَّ) qui ne signifie pas le coup physique mais plutôt la séparation du foyer selon les significations du mot "daraba" dans le Coran. Le Prophète Muhammad, interprète du Coran par ses actes, n'a jamais frappé physiquement ses épouses même en colère. Si le verset signifiait le coup physique, le Prophète aurait été obligé de les frapper pour appliquer le commandement coranique, mais il s'est plutôt séparé d'elles pendant un mois.

Il a dit à propos de ceux qui frappent leurs épouses : "Ils ne sont pas parmi vos meilleurs", "Seuls les pires d'entre vous frappent", et "Ne frappez pas les servantes d'Allah."

Le Coran ne commande rien qui rendrait les hommes mauvais, selon le Prophète.

Le juriste et compagnon Ata ibn Abi Rabah a dit : "Il ne la frappe pas même s'il lui ordonne et lui interdit et qu'elle désobéit." Les savants qui interprètent le "coup" du verset comme une séparation incluent le Dr Shawki Allam, grand mufti d'Égypte ; le Dr Mahmoud Al-Tahan, secrétaire des fatwas à Dar Al-Ifta en Égypte ; le Dr Ahmed Al-Sayeh, professeur de dogme à Al-Azhar et membre du Conseil suprême des affaires islamiques ; le cheikh Abdullah Hassan, conseiller du Conseil islamique de la charia et fondateur des imams contre la violence domestique ; le professeur Mehmet Okuyan, spécialiste de l'interprétation coranique ; le cheikh Khaled Al-Gendy, membre du Conseil suprême des affaires islamiques en Égypte ; le Dr Mohamed Hidaya, professeur de charia à Al-Azhar ; le cheikh Omar Abdelkafi, directeur du Centre d'études coraniques pour le Prix du Coran de Dubaï ; le Dr Abdulhamid Abu Suleiman, fondateur et directeur de l'Université islamique en Malaisie qui a écrit un livre prouvant que le verset signifie la séparation ; le Dr Amina Nasir, professeure de dogme à Al-Azhar ; le Dr Suhaila Zain Al-Abidin, fille de l'imam de la mosquée sacrée ; le Dr Ashraf Al-Feel ; le Dr Ali Sallabi ; le cheikh Sayed Zayed ; le cheikh Khaled Al-Jamal ; le cheikh Sufyan Saleh ; et le professeur Taher Al-Qadri, chef du département de législation islamique et traducteur du Coran intitulé "Irfan-ul-Quran", ainsi que la traduction américaine du Coran "The Sublime Qur'an."

Les études montrent que le fait de frapper son épouse est une cause majeure de divorce et de maladies psychologiques/mentales chez les épouses et les enfants. La preuve définitive réfutant l'interprétation du verset comme un coup physique provient des témoignages d'expériences de mort imminente (EMI), documentées par des médecins occidentaux. Il existe un programme islamique appelé "La vie après la vie" avec environ 200 épisodes interviewant des musulmans ayant vécu une expérience de mort imminente. Le plus grand choc pour les hommes est d'être tenus responsables d'avoir frappé leurs épouses et enfants. Une personne a vu un mari souffrir terriblement pour avoir blessé sa femme, avec l'autoritarisme et le contrôle du mari sur sa femme se manifestant comme des bêtes terrifiantes pires que n'importe quel film d'horreur conçu pour tourmenter et effrayer le mari.

Un autre homme a été tenu responsable d'avoir frappé sa fille. Un mari a été battu par sa femme avec un gourdin parce qu'il était très contrôlant et l'empêchait de rendre visite à sa famille. Sa sœur l'a également frappé avec un gourdin parce qu'il l'avait frappée. Un autre homme a eu les os broyés par sa femme et sa sœur et on lui a dit qu'il n'avait pas le droit de frapper sa femme, et il a été tenu responsable même s'il disait que ses coups étaient légers, symboliques et non douloureux. Un autre mari a été informé que son diabète et l'amputation de grandes parties de son corps étaient dus au fait d'avoir frappé sa femme. Un autre homme a vu un mari se frapper sans arrêt parce qu'il avait frappé sa femme.