Égypte.. nouvelles décisions concernant les blogueurs en cours d'enquête.

Il a été expliqué que les actions intensifiées des forces de sécurité égyptiennes ne visent pas à restreindre la liberté d'expression, comme certains le prétendent, mais constituent plutôt une application stricte de l'État de droit et une nécessité préventive pour protéger la société d'une vague de dérapage moral menaçant la jeunesse et les générations futures.

Al-Nams, dans des déclarations à RT, a déclaré : « La liberté d'expression est un droit fondamental garanti par la constitution égyptienne, la loi et la charia islamique, mais ce n'est pas un droit absolu ; il est limité par le respect des constantes nationales, des valeurs publiques et des droits des individus et de la société. »

Il a ajouté : « La liberté est essentiellement une bénédiction, mais elle devient une malédiction si elle est utilisée pour propager l'immoralité, heurter la décence publique ou promouvoir un contenu contraire à la morale. Dans ce cas, l'intervention légale n'est pas une option, mais un devoir légal et religieux pour protéger le tissu social. »

Il a souligné que l'Égypte dispose d'un arsenal législatif complet permettant à l'État de faire face aux contenus destructeurs, notamment :

Al-Nams a confirmé que les sanctions prévues par la loi « ne sont pas une vengeance contre les individus, mais un moyen dissuasif visant à protéger la société, surtout que le contenu publié en ligne atteint en quelques secondes des millions de jeunes et laisse un impact profond difficile à effacer par la suite. »

En réponse aux voix défendant les blogueurs arrêtés, Al-Nams a déclaré : « La défense aveugle qui justifie la violation sous le slogan de la liberté nuit à la liberté elle-même. » Il a ajouté : « La véritable défense est de demander un procès équitable selon les procédures légales, et non de justifier ou légitimer les actes illégaux. »

Il a expliqué : « Ceux qui brandissent le drapeau de la liberté pour permettre la diffusion du vice ne nuisent pas seulement à la société, mais détruisent les valeurs religieuses, remettent en question les fondements de l'État de droit et ouvrent la porte au chaos au nom de la liberté. »

L'avocat bien connu a souligné que la charia islamique affirme que « prévenir les maux prime sur l'obtention des bénéfices », précisant que « préserver la morale publique, protéger la famille et prévenir la déviation des jeunes est un devoir religieux avant d'être une obligation légale. »

Il a ajouté : « Une société qui néglige ses constantes perd sa boussole et ne peut pas construire un avenir sûr. Aucune nation qui a négligé ses valeurs n'a prospéré. »

Al-Nams a conclu en soulignant que « les plateformes numériques sont une arme à double tranchant ; elles sont soit des tribunes pour l'éclairage et la sensibilisation, soit des outils pour détruire les valeurs et répandre le chaos. »

Il a confirmé : « La célébrité ne signifie pas immunité, la liberté ne signifie pas chaos, et la responsabilité est l'autre face de tout droit. » Il a déclaré : « La parole est un dépôt, et celui qui trahit ce dépôt porte son fardeau devant la loi, devant Dieu et devant la société. »