Le président Michel Aoun a salué dans une déclaration les efforts de son homologue américain « déployés pour mettre fin à la souffrance des civils et des innocents dans la bande de Gaza, stopper le bain de sang et travailler ensemble pour un Moyen-Orient stable et prospère, basé sur les principes de justice humanitaire et de dignité humaine ».

Il a exprimé l'espoir que « ce plan obtienne l'approbation des parties concernées dans les plus brefs délais », soulignant « l'approche réaliste adoptée pour traiter les questions conflictuelles et problématiques ».

Le président américain a révélé les principaux points de son plan pour mettre fin à la guerre, qui incluent le désarmement du Hamas, la libération des prisonniers israéliens dans les 72 heures suivant l'approbation d'Israël, et l'entrée immédiate de l'aide dans la bande de Gaza dès acceptation.

Selon les dispositions du plan, les habitants de la bande de Gaza « ne seront pas forcés » de la quitter, et une force internationale sera déployée dans la bande parallèlement à un retrait progressif de l'armée israélienne.

Le plan de Trump comprend un ensemble de mesures politiques, sécuritaires et humanitaires visant à « mettre fin aux combats, établir une trêve durable et créer les conditions pour la reconstruction de la bande ».

Une déclaration conjointe des ministres des affaires étrangères d'Égypte, de Jordanie, des Émirats arabes unis, d'Indonésie, du Pakistan, de Turquie, d'Arabie saoudite et du Qatar a salué l'annonce par Trump « de sa proposition comprenant la fin de la guerre, la reconstruction de Gaza, la prévention du déplacement du peuple palestinien et la promotion de la paix globale, ainsi que sa déclaration qu'il n'autorisera pas l'annexion de la Cisjordanie », soulignant « l'importance du partenariat avec les États-Unis pour consolider la paix dans la région ».

L'Autorité palestinienne, qui a salué les efforts « sincères et assidus » de Trump pour mettre fin à la guerre, a déclaré vouloir « un État palestinien démocratique moderne, non armé, engagé dans le pluralisme et le transfert pacifique du pouvoir ».